
Et dire
que c'est "ÇA" que l'on a au gouvernement.
Le
soleil des Antilles lui a chauffé la casserole à cette pauvre naze !
Christine
TAUBIRA, la nouvelle garde des
Sceaux a déclaré il y a quelques jours ceci au micro de Radio France
International :
"les brûleurs du drapeau
français le 6 Mai ne seront pas poursuivis. Il s'agit d'un geste de liesse
pardonnable"
Quel amour immodéré pour la
France de la part de la gauche angélique et laxiste !!!
Rappel
CODE PENAL
Article 433-5-1 créé par la loi n°2003-239 du 18 mars 2003- Art 113 JO
du 19 mars 2003 :
- Le fait au cours d'une
manifestation organisée ou réglementée par les autorités publiques,
d'outrager publiquement l'hymne national ou le drapeau tricolore est
puni de 7500 euros d'amende.
- Lorsqu'il est commis en
réunion, cet outrage est puni de 6 mois d'emprisonnement et de 7500
euros d'amende.
Après une telle déclaration,
il est urgent que Hollande dise enfin aux Français ce qu'il veut
faire de notre pays en nommant une telle personne garde des Sceaux !!

Sans faire de politique,
lisez le poème "les larmes du drapeau" :
- J'ai longuement flotté sur
les champs de bataille,
- Résistant bravement aux
coups de la mitraille.
- Maintes fois ma voilure
épongea dans le vent
- Le sang des soldats morts,
les pleurs des survivants.
- Au sommet du pays je
dressais mes couleurs
- Témoignage vibrant de la
Foi, de l'Honneur.
- Les anciens devant moi
soulevaient leur chapeau,
- Qu'y a-t-il de plus beau
que l'amour d'un drapeau ?
- Mais la honte survint par
un soir gris d'hiver :
- Ma hampe fut brisée par
des mains étrangères.
- Lacérés, mes beaux plis
sanglotaient en silence
- En voyant que ces doigts
s'attaquaient à la France.
- Devant la foule haineuse,
on me jeta à terre.
- Un instant je pensais : «
nous sommes donc en guerre ! »
- Mais en guerre un étendard
a ses défenseurs,
- Ici nul n'accourut pour
calmer ma douleur !
- Les uniformes bleus
trépignaient de colère,
- Mais leur chef, tout
là-haut, préservant sa carrière,
- Me laissa sans mot dire
aux mains de mes bourreaux :
- Je mourus sans qu'une arme
quitte son fourreau.
- Ce soir je regrettais de
porter ces couleurs,
- Car une part de la France
est morte dans mes pleurs.
- Quand mon pays me laisse
ainsi succomber, seul,
- Je ne suis plus drapeau,
mais je deviens linceul.
Lieutenant-colonel Michel
BRAULT
Pour moi, pas de commentaires
supplémentaires !
Le 13 Septembre 2012 |